Article mis à jour le 13 septembre 2015

Cet article de Jean-Marc Ducos a été publié dans « La Parisien ».

« Tueur en série : nouveaux soupçons sur l’insaisissable Grêlé

Auteur de trois meurtres et six viols, entre 1986 et 1994 à Paris et en Ile-de-France, ce criminel trahi par son ADN, mais jamais identifié, aurait aussi tué une lycéenne en Seine-et-Marne, en 1994.

La police a son ADN, connaît son mode opératoire et dispose même d’un portrait-robot. Malgré ces indices, ce tueur en série implacable, surnommé le Grêlé à cause de son visage marqué par des cicatrices, n’a toujours pas pu être identifié. Les policiers de la brigade criminelle de Paris, au 36, quai des Orfèvres, passent tous les jours devant son portrait affiché sur leurs murs.

Depuis vingt-neuf ans, il est leur obsession. L’enquête se poursuit toujours, sept juges d’instruction se sont déjà penchés sur ce tueur. En vain. Et il se pourrait qu’un nouvel homicide lui soit imputé, s’ajoutant aux trois meurtres et six viols dont il est déjà soupçonné. »

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Carte des crimes du Grélé
Carte des crimes du Grélé

 

D’autres articles ont été publiés sur ce tueur :

« Le Grêlé », un tueur en série traqué depuis 29 ans, par Lucas Burel dans L’Obs.

« Le Grêlé » : Ce que l’on sait de ce tueur en série, par J.H. dans 20 minutes.

Sur la route du crime : Vingt-sept ans après, le tueur au visage grêlé court toujours, par Corentin Chauvel avec V.V. dans 20 minutes.