Article mis à jour le 23 août 2022

Nom : Francisco de Assis Pereira
Surnom : « Le maniaque du Parc », « Motoboy »
Né le : 29 novembre 1967, à Sao Paolo – Brésil
Mort le : Toujours en vie, emprisonné dans un établissement de soins psychiatriques.

Pereira, un jeune coursier motocycliste, se faisait passer pour un photographe de mode afin d’attirer ses victimes. Il se promenait dans le parc public près de chez lui, et accostait les belles jeunes femmes brunes, en leur assurant que ses photos feraient d’elles des mannequins. Neuf d’entre elles l’ont cru et l’ont suivi dans le parc, où il les a violées et étranglées.

Informations personnelles

La famille de Pereira était particulièrement religieuse. Il avait été nommé comme François d’Assise, le saint italien.

Pereira à l'âge de 4 ans
Pereira à l’âge de 4 ans

Pereira semblait non seulement être un jeune homme normal, intelligent et sociable, mais un personnage particulièrement sympathique.
Il avait de l’humour, il était considéré comme une personne honnête et appréciable. Il aimait offrir ses conseils aux enfants qui faisaient du roller, étant lui-même très sportif.

Une tante maternelle l’aurait violenté sexuellement durant son enfance.
Il aurait eu des relations homosexuelles avec un enseignant au collège.

Il a vécu une relation brutale avec un travesti du nom de Thayna durant plus d’une année. Ce dernier aurait remarqué des marques de coups et des griffures, sur son ventre et son visage, à l’époque des viols et des meurtres.
Certaines victimes ayant survécu ont témoigné avoir griffé Pereira pour le repousser.

En 1995, il a été emprisonné après avoir été accusé de viol à Sao Paolo. Il a payé sa caution et l’accusation a été abandonnée.
Début 1998, Pereira a été interrogé après qu’une jeune femme avait qui il sortait ait disparu.

Crimes et châtiment

saopaolo

São Paulo est la plus grande ville du Brésil et l’une des plus grandes villes du monde. Le Parque do Estado est l’une des réserves naturelles de 550 hectares qui sert de poumon à la ville et, malgré l’énorme popularité de ce parc, sa jungle presque impénétrable en fait parfois un endroit dangereux.

Le 4 juillet 1998, deux corps de femmes furent découverts dans le Parque do Estado.
Deux jours plus tard, deux squelettes furent mis à jour quelques mètres plus loin. Les quatre corps étaient nus, agenouillés face contre terre, les jambes écartées dans une position clairement sexuelle, parfois recouverts de branches ou de terre.

Le 7 juillet, la police identifia l’un des corps, celui d’une jeune joueuse de basket de 18 ans, extravertie et joyeuse, qui devait s’inscrire à l’Université en comptabilité quelques semaines plus tard, Selma Ferreira Queiroz. Au cours de l’autopsie, le médecin légiste détermina que la jeune femme avait été étranglée puis violée après son décès.
Il décela aussi, à l’arrière du bras gauche de Selma, une trace courbe, celle d’une morsure.

Le 9 juillet, la police ajouta officiellement à la liste des victimes deux autres jeunes femmes, dont les corps avaient été découverts en janvier puis en mai.
Fin juillet, le nombre de victimes s’élevait à huit en tout. Toutes avaient été étranglées.
Parmi elles :

  • Elisangela Francisco da Silva, une jeune femme de 21 ans issu d’une ville pauvre au sud du Brésil, qui était venue vivre avec sa tante à Sao Paulo dans l’espoir d’un avenir meilleur. Un ami l’avait déposée dans le centre commercial Eldorado, où elle voulait faire des courses.
  • Raquel Mota Rodrigues, 23 ans, qui travaillait dans un magasin de meubles pour aider sa famille. A la sortie du travail, elle les avait appelés pour les informer qu’un jeune photographe inconnu lui avait demandé de poser pour lui comme modèle. Sa cousine lui avait dit que c’était trop risqué et elle avait répondu qu’elle allait effectivement refuser.
  • Patrícia Gonçalves Marinho, 24 ans, une belle jeune femme dont la famille rêvait qu’elle devienne mannequin.

Les journaux parlaient d’un « maniaque » violeur et assassin, l’opinion publique commençait sérieusement à s’émouvoir et la police était impuissante.

À partir du 15 juillet, plusieurs jeunes femmes vinrent rappeler à la police leur plainte pour viol.
Ces jeunes femmes, violées et frappées par un jeune homme brun qui les avait emmenées dans le parc durant l’année 1997, étaient encore terrifiées. La police n’avait montré que du dédain face à celles qui avaient eu le courage de porter plainte, des mois auparavant.
Ce n’est qu’après que les meurtres ont fait la une des journaux que d’autres femmes vinrent en parler aux journalistes, forçant les policiers à rouvrir leurs dossiers.
Le premier meurtre avait eu lieu en janvier 1998, mais les plaintes des femmes violées avaient été classées sans suite et les enquêteurs n’avaient pas cherché le coupable.

Les onze victimes de viol décrivirent un jeune homme brun qui s’était présenté comme un photographe de mode cherchant des mannequins.

Après avoir diffusé des portraits-robots du suspect basés sur les témoignages de ces jeunes femmes violées, la police reçut un appel anonyme qui l’amena à soupçonner un homme en particulier. 30 ans, brun, beau garçon et charmeur, coursier motocycliste (d’où son surnom de « motoboy »), il adorait faire du roller-blade et avait une voix très douce : il se nommait Fransisco de Assis Pereira et avait déjà été soupçonné de viol.

Une autre jeune femme contacta la police en leur expliquant qu’un jeune homme brun d’environ trente ans l’avait abordée dans le métro de São Paulo en se présentant comme photographe. Il avait lourdement insisté pour qu’elle participe à une séance photo et lui avait laissé son numéro de téléphone lorsqu’elle avait refusé. Les policiers découvrirent que la ligne appartenait à une entreprise de coursier motocycliste. Ils discutèrent avec le propriétaire de l’entreprise qui leur indiqua que l’un des employés avait quitté le travail précipitamment. Il reconnut Francisco de Assis Pereira lorsqu’on lui montra sa photo.

Malheureusement, lorsque les policiers vinrent l’arrêter à son domicile, Pereira s’était envolé.

Durant un mois, toutes les polices du Brésil cherchèrent activement le tueur, parcourant les quartiers qu’il fréquentait, rendant visite à sa famille, demandant même l’aide d’Interpol. Sans résultat.

Quelque temps plus tard, le propriétaire de l’entreprise de coursier requis les services d’un plombier pour déboucher les toilettes obstrués du bureau : le plombier y trouva une carte d’identité partiellement brûlée, celle de Selma Ferreira Queiroz, l’une des victimes retrouvées dans le parc.

Le 30 juillet, la police annonça avoir découvert du sperme dans le corps de Selma, ce qui lui permettrait peut-être d’obtenir une preuve solide contre le tueur. On apprit par la suite que l’échantillon avait été souillé et mal prélevé, ne pouvant plus être utilisé…

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Le 4 août, Pereira fut finalement arrêté près de la frontière uruguayenne, à Itaqui, après qu’un pêcheur avait qui il vivait l’ait dénoncé : il avait vu sa photo à la télévision.
Francisco Pereira avait quitté le Brésil pour demeurer quelques jours en Argentine. Il avait passé sans problème plusieurs barrages de police sans être identifié.

Pereira prêcha d’abord son innocence, affirmant qu’il ne savait pas que la police le recherchait et qu’il se rendait simplement à une compétition de roller. Lorsque les enquêteurs lui expliquèrent que sa dentition correspondait à la morsure présente sur le bras de Selma Ferreira de Queiroz, il ne réagit pas.

Mais après 72 heures d’interrogatoire, il finit par admettre ses meurtres à son avocat dans la nuit du 7 août 1998. Le lendemain, il réitéra ses aveux aux policiers.
Souriant, Pereira avoua aux enquêteurs qu’il était le meurtrier des huit jeunes femmes du parc de Sao Paolo, et l’un des enquêteurs lui parla d’une neuvième victime. Isadora Fraenkel, une jeune hôtesse de l’air de 19 ans qui voulait reprendre ses études, avait mystérieusement disparu dans les rues de São Paulo en février 1998. Pereira avait tenté d’encaisser des chèques en son nom et avait été interrogé à ce sujet, mais il avait assuré avoir trouvé les chèques et, sans cadavre, il n’avait pas pu être inculpé de la disparition de la jeune femme. Il admit avoir tué Isadora, puis conduisit la police jusqu’à son squelette, caché par des branches, qu’il avait brûlé avec de l’essence trois jours après l’avoir assassinée.
Il localisa ensuite les endroits où l’on avait retrouvé les autres corps. Il offrit des détails sur chaque meurtre, mais affirma avoir perdu le compte de ses victimes.

Francisco de Assis Perira avoua enfin le meurtre d’une dixième victime : Rosilda França de Oliveira, une étudiante de 21 ans employée dans une agence immobilière de 21 ans. D’elle, on ne retrouva qu’un squelette partiel, dont un os de bras attaché à un arbre. Pereira avait rencontré Rosilda à la gare routière de Jabaquara (au sud-est de Sao Paulo), le 23 janvier 1998. Il avait engagé la conversation et il avait fini par apprendre qu’elle espérait devenir présentatrice à la télévision. Promettant de la photographier « dans la nature » pour une campagne publicitaire, il l’avait emmenée au Parque do Estado en bus.

Quelques jours plus tard, les femmes violées qui avaient porté plainte le reconnurent définitivement lors d’une confrontation.
Elles apprirent ensuite, avec horreur, qu’il les avait contaminées avec le HIV.

Pereira fut jugé une première fois au début de l’an 2000 pour le meurtre d’Isadora Fraenkel, le seul pour lequel l’accusation possédait assez de preuves « fraiches » à son encontre.
Son avocate, Maria Elisa Munhol, affirma alors : « Mon client est coupable, mais mon client est malade ». Pereira lui-même affirma avoir été « poussé à tuer par des forces démoniaques irrésistibles » et expliqua ses meurtres par « un appétit charnel non ordinaire ».
Les jurés ne lui accordèrent aucune circonstance atténuante. Il fut condamné à 147 ans de prison.

Malgré cette lourde condamnation, il épousa en mai 2000 une jeune femme avec laquelle il correspondait par courrier depuis 1998. Il avait reçu la première lettre de cette femme quelques semaines après son arrestation. Elle avait loué une maison peu après, près de la prison, pour être près de Pereira…
(Francisco de Assis Pereira a reçu près d’un millier de lettres d’amour de jeunes femmes après son arrestation.)

En juillet 2000, Pereira fut jugé pour les onze viols commis en 1997, et fut condamné à 121 années de prisons supplémentaires.
Toutefois, sur les 268 ans cumulés de sa condamnation, Pereira ne doit passer que 30 ans en prison, le maximum selon la loi Brésilienne.

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Pereira a été interné dans la « Maison d’arrêt et de traitement psychiatrique » de Taubate, à 135 km de Sao Paulo, qui n’est en fait qu’une prison de sécurité maximum surpeuplée.
Les autorités ont d’abord placé Pereira dans une cellule isolée, pensant que ses codétenus voudraient le tuer.
En décembre 2000, une émeute a eu lieu à Taubate : des détenus ont demandé à être transférés dans une autre prison, pistolets et couteaux à la main. Des familles qui venaient rendre visite à certains prisonniers ont été prises en otages.
Une guerre des nerfs et une bataille rangée ont eu lieu pendant plus de 30 heures entre les 220 détenus et les gardiens.
La police a dû intervenir et neuf détenus sont morts. Pereira a survécu.

Bien que n’ayant pas été reconnu comme « aliéné mental », Pereira a été transféré dans un centre de soins psychiatriques « afin de protéger sa vie ».

Il aurait soi-disant retrouvé la foi et passerait son temps à lire la Bible.

Les victimes de Pereira

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Raquel Mota Rodrigues (23 ans)
Violée et étranglée le 10 janvier 1998.

Rosilda França de Oliveira (21 ans)
Violée et assassinée le 23 janvier 1998.

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Isadora Fraenkel (19 ans)
Violée et étranglée le 10 février 1998.

Michele dos Santos Martins (19 ans)
Assassinée le 10 avril 1998.
Son corps a été retrouvé en partie carbonisé.

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Patrícia Gonçalves Marinho (24 ans)
Violée et assassinée le 17 avril 1998.

Elisangela Francisco da Silva (21 ans)
Assassinée le 9 mai 1998.

Rosa Alves Neta (21 ans)
Violée et assassinée le 25 mai 1998.

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Selma Ferreira de Queiroz (18 ans)
Violée et assassinée le 3 juillet 1998.

Ainsi que deux autres jeunes femmes non identifiées, assassinées en juin 1998.

Mode Opératoire

Francisco de Assis Pereira s’attaquait aux jeunes femmes entre 15 et 24 ans, brunes aux cheveux longs et à forte poitrine.

Il se promenait à travers le grand Parc do Estado, en se faisant passer pour un photographe de mode travaillant pour une société de cosmétiques. Il flattait ses futures victimes en leur disant qu’une carrière de mannequin s’offrait à elles.
Il les approchait de manière douce et charmante, en leur parlant de leur avenir rayonnant. Puis, il les conduisait dans un endroit isolé afin de « prendre quelques photos pour le book ».

Une fois dans le parc, il se jetait sur elle pour les violer et les sodomiser.
Il a mordu certaines de ses victimes et a même arraché des morceaux de leur sexe.
Pereira a expliqué avoir souvent utilisé des lacets pour étrangler ses victimes.

Ensuite, il recouvrait les corps ou les cachait dans d’épais buissons. Il a même brûlé le corps d’une de ses victimes, Isadora Fraenkel, avec de l’essence.

Les motivations de Pereira

Pereira était un obsédé sexuel et un sadique, un manipulateur qui prenait plaisir à « séduire » ses victimes, à les « embobiner » en les complimentant sur leur physique.

L’ex-agent du FBI Gregg McCrary a expliqué que Pereira est un tueur sophistiqué, qui n’a jamais utilisé la force pour « obtenir » des victimes, mais plutôt le charme.

Le Brésil est un pays où l’apparence physique compte énormément. On se doit d’être beaux, jeunes, en forme, avec des formes rebondies et une peau halée. Même issue des « favelas », une belle femme peut effectivement devenir top model, voire « Miss Monde ». C’est le rêve d’innombrables jeunes femmes à l’existence indigente ou monotone.
Le fait qu’un « photographe professionnel » s’intéresse à elles était une chance qu’il ne fallait pas rater.
Pereira a cependant montré du mépris pour ses victimes, qu’il a qualifié de « naïves et stupides », pensant qu’elles devaient « payer pour cela ».

Lorsqu’il a avoué ses meurtres aux policiers brésiliens, Pereira a expliqué qu’il avait emmené ses victimes dans le Parque do Estado pour les violer, puis les avait forcées à le suivre, à moitié nues, en leur montrant les cadavres de ses victimes précédentes. Elles ont dû être prises de panique et totalement terrifiée. Il ne suffisait pas à Francisco de Assis Pereira de tuer. Il voulait infliger de la souffrance et terroriser ses victimes. Pour lui, ça n’était pas seulement une punition physique, mais aussi mentale.

Pereira préméditait ses meurtres et s’équipait lorsqu’il allait se promener dans le parc dans le but de tuer : appareil photo pour la « séduction », et lacets pour le meurtre.

Il aimait emporter des souvenirs (argent, foulard, papiers…) appartenant à ses victimes, pour se remémorer ses meurtres.

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Il a violé au moins onze femmes en six mois, puis a tué onze femmes durant les six mois suivants, ce qui est beaucoup (presque deux par mois). Pereira a dit aux enquêteurs qu’il était sur le point de commencer à manger ses victimes lorsque ses meurtres les ont amenés à le soupçonner et qu’il a dû fuir.
Ses fantasmes de meurtres semblent avoir explosé et évolué très rapidement vers le pire.

On peut noter chez lui une « incertitude sexuelle » (homosexualité à l’adolescence, relation de couple à la fois avec des femmes et avec un travesti…) qui a sans doute eu une influence sur ses actes.

John Douglas, ancien profiler du FBI, a dit qu’il était facile pour Pereira de choisir une victime vulnérable, vu le nombre de jeunes femmes qui se promenaient dans le parc. Pereira possède les caractéristiques d’un tueur « organisé » : il tuait dans un endroit qui lui était familier (le Parco do Estado), il choisissait toujours le même genre de victime (des femmes brunes) qu’il charmait avec un beau sourire et des paroles choisies, il utilisait ses mains pour tuer et il emmenait des « souvenirs » avec lui.

Dans le cas d’Elisangela Francisco da Silva, Pereira a froidement déclaré que « ça a été la meilleure nuit de ma vie« . Durant deux jours, il était revenu vers le cadavre de la jeune femme, prétendument « juste pour l’embrasser« , jusqu’à ce que la décomposition soit trop avancée.

Citations

« Elle, je n’ai pas eu à l’étrangler très fort, j’ai juste serré un peu » : Pereira, parlant d’Isadora Fraenkel.

« La frapper a réveillé en moi un fantasme immoral. J’ai ressenti une adoration immorale, vicieuse, interdite » : Pereira, parlant d’Isadora Fraenkel.

« Il y a un côté mauvais en moi. Un côté affreux, pervers, que je ne parviens pas à contrôler. J’ai des cauchemars, des rêves avec des choses terribles. Je me retiens d’aller en ville, de sortir de chez moi. Je me couche et je prie pour essayer de me contrôler » : Pereira.

« C’étaient des filles stupides et crédules et en allant avec quiconque leur demandait de les photographier, sans le connaître, c’étaient des filles faciles et elles méritaient de payer pour cela » : Pereira.

« Nous sommes entrés dans la forêt avec lui pour qu’il nous montre où se trouvait Isadora. Puis j’ai vu pour la première fois son comportement. Quand il a mis les pieds dans la forêt, il s’est transformé. Il regardait la forêt comme s’il était un félin, un animal. Ses yeux sortaient de leurs orbites. » : le policier Luis Carlos Dos Santos.

Bibliographie

Livres en francais :
Aucun pour le moment.

Livres en portugais (brésil) :

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CACADA AO MANIACO DO PARQUE
Auteur : Luis Carlos dos Santos et Luiza Alcaide
Edition : 1e Edição
Année : 2000

Résumé : « L’histoire véridique de l’un des épisodes les plus barbares de la chronique policière brésilienne. Écrit en quatre mois par la journaliste Luiza Alcaide et l’inspecteur de police Luis Carlos dos Santos, ce livre relate les crimes de « motoboy », Fransisco de Assis Pereira, un serial killer qui a violé et tué ses victimes dans le Parc do Estado de Sao Paolo. Onze femmes sont mortes entre ses mains. Le livre explore le processus d’investigation qui a permis aux autorités d’appréhender le maniaque, et aborde les questions judiciaires et psychiatriques que soulève cette affaire ».

Liens

– Le Brésil : description du pays (sur Wikipedia)
– Sao Paolo : description et liens sur la ville (sur Wikipedia)