Article mis à jour le 5 février 2017
Les gendarmes de la section de recherches de Grenoble (Isère) en charge du dossier dit des «Disparus de l’Isère», une série de meurtres d’enfants dans la région du Dauphiné entre 1983 et 1996 en partie résolus, ont entendu ces derniers jours Willy Van Coppernolle, 73 ans, un pervers et prédateur sexuel belge. Les enquêteurs agissant sur commission rogatoire des deux juges d’instruction en charge de ce dossier l’ont interrogé sur les disparitions de Ludovic Janvier, 6 ans, disparu à Saint-Martin d’Hères le 17 mars 1983 et l’agression de Gregory Dubrulle, 8 ans, enlevé le 9 juillet 1983 à Grenoble et laissé pour mort dans une décharge publique. Ces deux dossiers restent non élucidés. Un rapprochement avec le mode opératoire de Willy Van Coppernolle apparaissait pertinent. Un piste qu’il fallait purger pour les enquêteurs.
Ce pervers sexuel maintes fois condamné en Belgique (à 30 reprises depuis 1966) pour agression sexuelle ou rapt a aussi été condamné en France le 30 mars 1995 pour le meurtre d’un petit garçon, Abdel à Remoulins (Gard) en mars 1993 mais aussi le viol de deux adolescents à Arnissan (Aude). Une condamnation à perpétuité avec une peine de sûreté de 22 ans. Il est toujours incarcéré à ce jour mais reste libérable en 2017.
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Le tueur et pervers sexuel multirécidiviste belge Willy Van Coppernolle a dernièrement été entendu dans le cadre du dossier dit des « Disparus de l’Isère », une série de meurtres d’enfants dans la région du Dauphiné (sud-est de la France) commis entre 1983 et 1986, rapporte samedi Le Parisien. L’homme de 73 ans est incarcéré depuis 1995 pour le meurtre d’Abdel (11 ans au moment des faits).
Les gendarmes de la section de recherches de Grenoble (Isère) l’ont interrogé sur les disparitions de Ludovic Janvier (6 ans), disparu à Saint-Martin d’Hères le 17 mars 1983 et l’agression de Gregory Dubrulle (8 ans), enlevé le 9 juillet 1983 à Grenoble et laissé pour mort dans une décharge publique.
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